diff --git a/partie_reglementaire/livre_ii/titre_ii/chapitre_iv/section_1/sous-section_3/article_r224-16.md b/partie_reglementaire/livre_ii/titre_ii/chapitre_iv/section_1/sous-section_3/article_r224-16.md index 36eb2caed..b1b23e42e 100644 --- a/partie_reglementaire/livre_ii/titre_ii/chapitre_iv/section_1/sous-section_3/article_r224-16.md +++ b/partie_reglementaire/livre_ii/titre_ii/chapitre_iv/section_1/sous-section_3/article_r224-16.md @@ -1,11 +1,10 @@ --- État: MODIFIE Type: AUTONOME -Date de début: 2004-10-26 -Date de fin: 2012-12-27 -Identifiant: LEGIARTI000006905456 -Ancien identifiant: XXXXXXXXXXX224R01600XX0A -URL: article/LEGI/ARTI/00/00/06/90/54/LEGIARTI000006905456.xml +Date de début: 2012-12-27 +Date de fin: 2024-06-01 +Identifiant: LEGIARTI000026832313 +URL: article/LEGI/ARTI/00/00/26/83/23/LEGIARTI000026832313.xml --- ###### Article R224-16 @@ -14,5 +13,5 @@ Lorsque la personne à laquelle le pupille de l'Etat a été confié a fait connaître son souhait de l'adopter, dans les conditions prévues à l'article R. 224-15, le conseil de famille ne peut examiner un autre projet d'adoption qu'après avoir statué sur cette demande et à l'expiration des délais de recours -contre sa délibération, ainsi que, le cas échéant, après que le jugement du -tribunal de grande instance est devenu définitif. +contre sa délibération, ainsi que, le cas échéant, après que la cour d'appel a +statué.